Affaires corporatives
L’équipe des RELATIONS GOUVERNEMENTALES assure la liaison avec tous les paliers du gouvernement fédéral. Par la création et l’entretien de liens stratégiques, elle vise à accroître la compréhension de la mission des PLC et l'appui envers celle-ci.
Relationsgouvernementales
ÉLECTION FÉDÉRALE
Les PLC ont officiellement lancé leur stratégie relative à la campagne électorale lors de l’assemblée générale annuelle qui a eu lieu en juillet 2015. C’est en effet à ce moment que la trousse pour l'élection fédérale 2015 a été distribuée au conseil d'administration et au personnel des organisations laitières provinciales. L'objectif de la trousse visait à nous aider dans nos efforts pour communiquer avec les candidats des principaux partis dans chacune des circonscriptions du pays afin de s’assurer que, s’ils étaient élus, ils posséderaient déjà une solide connaissance du secteur laitier canadien et de ses principaux enjeux. Il s’agissait aussi de profiter de l’occasion pour livrer nos messages concernant le PTP. La trousse destinée aux candidats contenait une présentation de la gestion de l’offre; un aperçu de l’importance de l’industrie laitière pour la croissance de l’économie du pays; des faits et chiffres visant à déboulonner les mythes sur la gestion de l’offre; et de l’information sur des initiatives telles que proAction. Elle demandait également aux candidats de nous aider à relever certains défis, comme celui de protéger l'intégrité du système de gestion de l'offre dans le cadre des négociations relatives à la conclusion d'accords commerciaux.
Pendant l’été, les producteurs laitiers canadiens ont été encouragés à contacter leur député local, de même que les candidats des partis Libéral, Conservateur, Néo-démocrate (NPD), les Verts ainsi que du Bloc Québécois de leur circonscription, pour leur faire part des faits sur l’industrie laitière et leur rappeler à quel point elle est essentielle au bien-être des communautés canadiennes. De plus, les producteurs et les canadiens ont été invités à visiter le site Web lelaitcanadiencacompte.ca afin d’acheminer une lettre en soutien à l’industrie laitière canadienne à leur député, au ministre du Commerce international et aux chefs des principaux partis pendant les négociations du PTP. D'ailleurs, nous sommes on ne peut plus fiers de vous informer que les producteurs laitiers provenant de toutes les provinces ont répondu en grand nombre à l’appel lancé par les PLC.
Ça prend un village...
Dairy Farming Brings Value
in Alberta (en anglais seulement)
Farms Help Other Local Businesses Thrive (en anglais seulement)
Local Milk Creates Jobs
in London Ontario (en anglais seulement)
La stratégie des PLC comprenait aussi une campagne au moyen de laquelle nous avons envoyé sept courriels informatifs distincts à plus de 1 300 candidats; transmis un message Twitter de félicitations à tous les candidats; et organisé des visites à la ferme pour les chefs des conservateurs et du NPD. Afin d'évaluer les résultats de ses efforts, les PLC ont également envoyé un sondage à tous les candidats, leur posant les questions qui avaient été soumises au public par Environics dans un sondage qui a été effectué en juillet dernier.
Le lait canadien, ça compte
Lancée en juillet 2015, la campagne « Le lait canadien, ça compte » visait à générer et à solliciter l’appui des Canadiens à l’endroit de l’industrie laitière, puis à le consolider durant les rondes de négociation du PTP.
Cette ambitieuse initiative nous a permis de nous procurer du soutien de la part du grand public et de nous en servir pour exercer de la pression sur les représentants du gouvernement à l’aube de la période électorale. Tout au long de la campagne, les PLC ont démontré au gouvernement que les Canadiens de partout au pays se soucient de l’industrie laitière, forçant ainsi les décideurs à en tenir compte pendant les négociations du PTP et de tenter par tous les moyens de protéger les acquis de notre secteur.
Au début de l’été, en partenariat avec le Sussex Strategy Group, les PLC ont créé et diffusé des publicités ciblées dans les médias imprimés, sur Facebook et dans Google en appui à l’industrie laitière canadienne. Lesdites publicités encourageaient le public à visiter le site Web lelaitcanadiencacompte.ca et à apposer leur signature au bas de cinq lettres individuelles et personnalisables afin d’exprimer leur soutien à l’industrie laitière et à la gestion de l’offre. Ces lettres étaient adressées au premier ministre, au ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, aux chefs des partis de l’opposition ainsi qu’à des députés locaux. La campagne comportait également une série d’annonces imprimées, diffusées durant la ronde de négociations du PTP de Maui. Ces efforts ont connu beaucoup de succès. En effet, un total de 216 000 lettres ont été envoyées par 34 756 sympathisants!
La deuxième étape de la campagne, qui s’est tenue du mois d’août au mois d’octobre, privilégiait le placement de publicités Facebook, puisque durant la première phase, les résultats obtenus par l'entremise de cette plate-forme se sont avérés de loin supérieurs à ceux générés par Google. Par ailleurs, la campagne comportait une série d’annonces imprimées, diffusées durant la ronde de négociations du PTP d’Atlanta. Les personnes présentes lors des pourparlers de Maui et d'Atlanta nous ont rapporté que l’appui extraordinaire manifesté par la population à l’endroit de l’industrie laitière canadienne à l’occasion de cette campagne a eu des répercussions positives directes sur la position du Canada dans le contexte des négociations du PTP.
Ce mouvement a connu un vif succès comparativement aux campagnes publicitaires menées par des tiers.
De plus, nous disposons désormais d’une base de données composée de 34 802 adresses électroniques, dont nous pourrons nous servir à l’occasion d’autres initiatives et campagnes. En prime, cette portée nous a permis d’augmenter considérablement le nombre d’abonnés à notre communauté Facebook, qui est passé de 1 999 en juillet à 16 468 en août.
1 999
en juillet
À
16 468en Août
Un Canadien sur neuf a été exposé à notre compagne. Une belle réussite!
Qui plus est, les PLC, en collaboration avec le Sussex Strategy Group, ont remporté le Reed Award du Meilleur site Web canadien, un prix décerné par l’organisation américaine Campaigns and Elections. La campagne a de plus obtenu le prix d’excellence Bronze dans les catégories « campagne de relations gouvernementales/relations publiques de l’année » et « meilleure campagne de communications numériques de l’année » lors du gala Achieving Communications Excellence Awards présenté par la Société canadienne des relations publiques.
En raison de succès de la campagne et de la notoriété acquise, le logo Le lait canadien, ça compte servira désormais de logo et d’élément de ralliement autour duquel s’articuleront toutes les actions politiques entreprises par les PLC.
D’ailleurs, en mai 2016, les PLC ont lancé une nouvelle phase du mouvement Le lait canadien, ça compte en faisant parvenir par courriel un lien vers un court sondage aux personnes qui avaient pris part à la campagne épistolaire durant la période électorale. Plus de 30 % des personnes ciblées ont répondu à notre invitation. Ces chiffres démontrent, une fois de plus, à quel point notre base est déterminée à soutenir l’industrie laitière au Canada. Les résultats du sondage nous aideront à mieux comprendre les différentes priorités et opinions des gens en ce qui a trait aux principaux enjeux auxquels font face les producteurs laitiers et les consommateurs canadiens.
De plus, Le lait canadien, ça compte a été au cœur des activités marquant la Journée mondiale du lait du 1er juin. Le 2 juin était journée de rassemblement sur la Colline parlementaire à Ottawa où 3 000 producteurs laitiers – principalement du Québec, mais également de l’Ontario ainsi que des autres provinces canadiennes – se sont réunis. Des activités avaient lieu simultanément à l’Île-du-Prince-Édouard et en Saskatchewan.
La campagne Le lait canadien, ça compte continuera donc de mettre l’accent sur les questions qui importent le plus à nos producteurs laitiers – qui constituent l’un des fondements de nos économies rurales – et pour les consommateurs, qui veulent avoir l’assurance que le lait et les produits laitiers qu’ils achètent sont non seulement salubres et de grande qualité, mais également vendus à un prix raisonnable.
GESTION DE L’OFFRE
Au cours de la dernière année, une forte pression a été exercée sur le système de gestion de l’offre canadien en raison des accords commerciaux internationaux, de la critique publique, de la situation de l’industrie laitière à l’échelle mondiale et des divers enjeux liés à la gestion des frontières canadiennes.
De plus, certains détracteurs du système, par exemple l’Institut économique de Montréal et l’ancienne députée Martha Hall Findlay, ont profité des négociations du PTP et de l'élection fédérale de 2015 pour critiquer à nouveau celui-ci. Pendant la campagne électorale, plusieurs médias ont publié la déclaration de Mme Hall Findlay, selon laquelle les politiciens n’avaient pas à se soucier de l’industrie laitière puisqu’elle n’avait une présence marquée que dans 13 circonscriptions fédérales canadiennes. Or, dans les faits, seulement en Ontario et au Québec, le secteur laitier occupe une place importante dans 44 circonscriptions. Les PLC ont réussi à rétablir les faits. La preuve est que le chiffre de 44 circonscriptions a été repris par la plupart des canaux médiatiques; il est donc rapidement devenu clair pour les politiciens que pour remporter l'élection canadienne, ils ne pouvaient pas ignorer les enjeux propres à l'industrie laitière.
Face à tous ces défis, les PLC ont ardemment défendu le système de gestion de l’offre unique du Canada. En effet, l’ensemble de nos communications et relations gouvernementales ont toujours eu pour but de promouvoir et de défendre la gestion de l’offre, et nous avons saisi toutes les occasions dans le cadre de ces efforts pour collaborer avec la Coalition pour un modèle agricole équitable, la gestion de l’offre (GO5) et nos partenaires d'affaires tels que Holstein Canada et Agropur.
ENJEUX POLITIQUES
LAIT DIAFILTRÉ
Les PLC tentent de résoudre la question de l'utilisation de lait diafiltré auprès du gouvernement depuis plus de quatre ans.
En effet, cette problématique a pris une ampleur inégalée en 2015. Le gouvernement avait d'ailleurs inclus celle-ci dans l’annonce du 5 octobre des mesures d’indemnisation associées à l’AECG et au PTP, mais le changement de garde à Ottawa a reporté la résolution de cette situation qui affecte grandement le revenu des producteurs, et ce, malgré les efforts constants et considérables déployés par les PLC.
LE PROGRAMME DE REPORT DES DROITS DE DOUANE
Le Programme de report des droits a été conçu pour les secteurs de la fabrication, et non pour le domaine de l’agriculture.
Certains importateurs se prévalent de celui-ci pour importer des produits laitiers et d’autres aliments, et reporter leurs paiements de droits de douane pour une période pouvant aller jusqu’à quatre ans, soit jusqu’à ce qu’ils réexportent leurs produits. Le mauvais usage du Programme de report des droits pour l’importation de produits laitiers perturbe la gestion de notre système.
En collaboration avec nos collègues de la GO5 nationale, nous nous sommes manifestés auprès des autorités pour que les produits soumis à la gestion de l’offre soient exclus du Programme de report des droits en raison de l’existence d’un programme spécifique et adapté aux produits agricoles d’importation pour réexportation pour les cas où des aliments (produits laitiers et volaille) sont importés dans le but de réexporter des produits alimentaires à valeur ajoutée.
INVESTISSEMENTS DANS LES INFRASTRUCTURES
Les producteurs laitiers canadiens investissent dans leurs fermes depuis de nombreuses années. L’infrastructure de transformation de l’industrie laitière canadienne a, quant à elle, atteint ses limites.
Avec des installations modernes, l’on pourrait fabriquer des produits « personnalisés » qui satisferaient les besoins des consommateurs.
L’industrie laitière a besoin d’argent pour les infrastructures afin de stimuler l’investissement dans des usines modernes de transformation de produits laitiers. De tels investissements feront en sorte que les emplois resteront au Canada. Si aucun soutien n’est procuré, les transformateurs investiront à l’extérieur du pays, et ces emplois seront perdus à jamais.
ÉTIQUETAGE NUTRITIONNEL
Les consommateurs souhaitent savoir de quoi sont faits leurs aliments. Bien que l’étiquetage des aliments contienne une foule de renseignements, ceux-ci ne sont pas toujours clairs et précis.
Par exemple, la liste d’ingrédients indique seulement en quoi consistent les ingrédients et non leurs proportions. Il est donc difficile pour un consommateur de comparer les produits et d’évaluer lesquels répondent le mieux à ses besoins.
À cet égard, les PLC croient que le système de déclaration quantitative des ingrédients (QUID), qui énonce le pourcentage de chaque ingrédient contenu dans un aliment, est la meilleure méthode d’étiquetage pour aider les consommateurs à faire des choix judicieux.
En tant que producteurs laitiers, nous sommes fiers des fruits de notre labeur et de leur authenticité. Ainsi, nous avons demandé au gouvernement d’exiger le QUID sur l’ensemble des étiquettes nutritionnelles.
L’étiquetage nutritionnel
Les PLC ont émis des commentaires sur la proposition publiée en juin 2015 dans la Gazette du Canada partie 1 concernant le Règlement sur les aliments et drogues (étiquetage nutritionnel, autres dispositions d’étiquetage et colorants alimentaires).
Voici les trois principaux enjeux soulevés relativement aux produits laitiers :
La valeur quotidienne (VQ) pour les sucres devrait être abandonnée et d’autres options devraient être envisagées. Santé Canada propose que le tableau de la valeur nutritive comprenne un pourcentage de la valeur quotidienne (% VQ) basé sur une consommation maximale de 100 g pour les sucres. Cependant, cette proposition ne fait pas la distinction entre les sucres naturellement présents et ceux ajoutés. Ainsi, la déclaration d’un % VQ tiendra compte de la teneur en sucre naturel (lactose) des produits laitiers. Cette déclaration amènera les consommateurs à croire, à tort, qu’ils devraient les éviter. Par exemple, 250 ml de lait nature et 175 g de yogourt aromatisé seraient étiquetés respectivement comme fournissant 11-13 % et 19-25 % de la VQ, alors qu’une VQ de 15 % est définie comme étant « beaucoup ».
Les PLC soutiennent la décision d’abandonner la déclaration obligatoire du % VQ pour les gras trans. Les PLC suggèrent également que Santé Canada aille encore plus loin et n’exige plus l’étiquetage des acides gras trans pour les produits alimentaires dont le gras provient exclusivement de la viande de ruminants ou de produits laitiers.
Les conditions permettant l’utilisation de l’allégation « excellente source » pour le calcium devraient être révisées, dans un contexte où la VQ pour certains éléments nutritifs est plus élevée, dans le but de favoriser l’éducation des consommateurs sur les principales sources de ces éléments nutritifs. Cela devrait s’appliquer principalement aux micronutriments dont les apports sont inadéquats chez les Canadiens et identifiés par Santé Canada comme étant préoccupants du point de vue de la santé publique (ex. : calcium et fer).
COMMUNICATION CORPORATIVES
L’équipe des COMMUNICATIONS vise à renforcer et protéger la réputation des PLC ainsi qu’à soutenir le déploiement de sa vision stratégique. En collaboration avec les autres services des PLC, l’équipe fait la promotion des valeurs de l’organisation, tout en veillant à ce que le public comprenne mieux la mission de celle-ci et lui procure son appui.
Les PLC produisent et distribuent l’infolettre bimensuelle destinée aux producteurs l’Express laitier visant nommément à transmettre des messages de nos partenaires aux producteurs – par exemple, de l’information relative au recensement provenant de Revenu Canada – ou pour acheminer tous les renseignements pertinents à nos lecteurs durant la période des pourparlers d’un accord commercial. Les commentaires positifs que nous recevons périodiquement concernant l’Express nous indiquent que nous sommes sur la bonne voie!
Gestion des enjeux
Le groupe de gestion des enjeux, qui comprend un représentant de chaque organisation laitière provinciale, s’est réuni à deux reprises cette année. La première fois, à Montréal en décembre, puis à Halifax en mai. À ces deux rassemblements s’ajoutent les conférences téléphoniques mensuelles ainsi que des discussions aléatoires, lorsque le besoin s’en fait ressentir. Lors de celles-ci, les membres discutent des enjeux à l’échelle locale et nationale, en plus de s’adonner à la planification et d’approfondir leurs connaissances sur divers sujets. Par exemple, à Halifax, le groupe a abordé le sujet des activistes du bien-être animal.
À l’automne 2015, le conseil d’administration des PLC a adopté le nouveau protocole de communication relatif à la gestion de crise qui a été distribué aux provinces. Nous disposons donc d’une procédure claire sur le soutien en matière de communication que les PLC peuvent donner aux organisations provinciales en cas de crise. En cas de besoin, une équipe mobile pouvant se déplacer partout au pays est désormais à la disposition de celles-ci.
L’équipe des Communications compte maintenant une directrice adjointe dévouée à la diffusion des politiques des PLC. Ceci nous permet, entre autres, de mieux planifier les activités et d’offrir un meilleur service à l’équipe des Politiques et du Commerce international ainsi qu’à celle du Marketing.
L’événement
Advancing Women
À titre de commanditaire de l’événement Advancing Women: Life Skills for Leadership — Women in Ag Conference qui a eu lieu à Toronto en octobre dernier, la directrice générale des PLC a eu l’occasion de présenter l’initiative Nourrir la passion du sport au féminin.
Conçu pour les femmes qui souhaitent connaître du succès dans leur carrière en agriculture, dans leur vie familiale et dans leur vie communautaire, et qui veulent assurer leur autonomie financière, cet événement de réseautage avait pour objectif de braquer les projecteurs sur des consœurs qui ont vécu des expériences similaires et qui étaient prêtes à inspirer leur auditoire en racontant ce qu’elles ont appris au fil de leur parcours. Ajoutons que les participantes ont grandement apprécié la présentation de Caroline Emond.
Désireux d’offrir, aux productrices laitières canadiennes, la possibilité de vivre cette expérience enrichissante, les PLC ont organisé le concours Advancing Women. En février, Jennifer Veldhuisen, Rachael Verwey, Carol Boonstoppel et Lindsay Heer ont gagné la chance d’assister à l’événement Advancing Women ciblant les provinces de l’Ouest qui a eu lieu les 28 et 29 mars à Calgary. Ces quatre candidatures se sont démarquées parmi les nombreuses dissertations reçues dans le cadre du concours. Félicitations aux gagnantes et merci à toutes les productrices passionnées et inspirantes de partout au pays qui ont participé!
La Table pancanadienne
de la relève agricole
Les PLC sont fiers de commanditer La Table pancanadienne de la relève agricole qui a tenu sa conférence et son assemblée générale des membres à Vancouver, en février dernier.
Mentionnons que la Table pancanadienne de la relève agricole favorise le réseautage entre les jeunes producteurs agricoles de partout au Canada et leur procure le soutien, les encouragements et les ressources nécessaires pour développer leur leadership et promouvoir l’agriculture.
XPO LAITIÈRE CANADIENNE
Les PLC ont également participé à la 4e XPO laitière canadienne annuelle tenue à Stratford en Ontario, au début d’avril.
Cette exposition commerciale de deux jours a permis aux PLC d’établir un contact direct avec les producteurs, de répondre à leurs questions et d’augmenter le nombre d’abonnés à l’Express laitier. Wally Smith y a fait une présentation sur le commerce mondial et l’importance de préserver notre système de gestion de l’offre, particulièrement à la lumière de la situation précaire de l’industrie laitière à l'échelle internationale. Il était aussi sur place pour participer à la cérémonie d’inauguration du Colisée des vaches, une nouvelle structure permanente de l’XPO.